L’avènement des néobanques et de la blockchain pour un bancassureur a été décrit comme la transformation numérique de l’évolution la plus significative du secteur. Ce nouveau scénario a, en effet, accéléré le changement de modèle économique des banques. Les compagnies d’assurance, quant à elles, semblent moins influencées par les insurtechs. Cependant, il est essentiel de réagir rapidement à ce changement de paradigme afin de rester compétitif.
Quels sont les défis et les opportunités de la transformation numérique dans l’assurance ?
La demande d’assurance est au centre des difficultés numériques actuelles. En effet, avec les insurtechs et les pure-players, le public a découvert une nouvelle voie vers le secteur. L’innovation est entrée en jeu via les contrats à la carte et l’assurance automobile au kilomètre. L’entrée de ces nouveaux concurrents a déclenché une révolution numérique dans l’assurance.
Les GAFA, quant à eux, ont contribué à l’exploration de nouvelles applications du Big Data et de l’IA dans le domaine du marketing. Ces nouvelles technologies propulsent les entreprises d’assurance à réexaminer leurs clients. À long terme, elles permettent de proposer des offres personnalisées qui garantissent le bonheur des assurés. En outre, ce point de vue contribue à l’amélioration de la qualité de l’expérience client.
Dans le secteur de l’assurance, il faut répondre de manière pragmatique à la question « qu’est-ce que la transformation numérique ? ». Cela permettra aux experts du secteur de repenser leurs produits et services afin de réussir leur mutation numérique. L‘agilité et la flexibilité des assureurs dématérialisés serviront très certainement d’exemple.
Quelles sont les limites de la numérisation pour les compagnies d’assurance ?
Les entreprises traditionnelles sont bien conscientes des difficultés du numérique pour le secteur de l’assurance, mais elles sont confrontées à leurs propres restrictions. Les grandes organisations doivent apprendre à surmonter l’inertie qui existe dans leur architecture. Les agents généraux et les cabinets d’assurance partagent cette limitation, qui est atténuée par des équipes et des ressources qui soutiennent leur transformation numérique.
D’un autre côté, le défaut le plus important du Big Data est son manque de fiabilité. Le secteur de l’assurance connaît bien les fausses déclarations et la fraude. Cependant, ces données peuvent avoir une influence néfaste sur l’efficacité des nouvelles technologies issues du progrès technologique. Les assureurs doivent rechercher une solution adaptée à leurs besoins spécifiques plutôt que des data scientists.
Le nombre de points de contact possibles a augmenté, et la relation client nécessite une attention particulière. Pour rester proches de leurs clients, les compagnies d’assurance doivent développer leur présence en ligne. C’est ainsi qu’elles pourront répondre aux demandes des consommateurs en matière d’échanges multicanaux.
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Comment les compagnies d’assurance utilisent-elles les technologies numériques pour la distribution de leurs produits ?
En général, un dirigeant doit transformer son entreprise et ses produits afin de réussir la révolution numérique dans son entreprise. Par conséquent, les assureurs et les courtiers doivent reconsidérer leur stratégie commerciale à la lumière des difficultés de la transformation numérique. Cela implique d’automatiser les procédures et de distendre les canaux de distribution.
Bien que de nombreuses entreprises aient été lentes à s’adapter, les grandes entreprises adoptent progressivement les nouveaux comportements favorisés par l’ère numérique. Sur leurs sites internet, elles sont de plus en plus nombreuses à proposer des conventions d’assurance et des simulateurs en ligne.
Les compagnies d’assurance françaises doivent se préparer à une nouvelle ère de concurrence. Le secteur de l’assurance français va connaître un profond changement dès que les technologies à la demande remplaceront le système traditionnel. Le crédit a été étendu à des personnes qui n’y avaient jamais eu recours auparavant, ce qui leur a permis de se constituer un historique financier et d’établir un budget personnel plus efficacement que jamais. Cette expansion a permis à des personnes qui n’avaient jamais emprunté d’argent auparavant et qui n’avaient pas d’employés ou d’entrepreneurs indépendants avec lesquels elles pouvaient partager les dépenses, de contracter des prêts auprès des banques et d’avoir accès à des crédits à faible coût à des taux d’intérêt même inférieurs à ceux disponibles auprès de sources établies.